J'avais donc préparé un long article qui viens d'être repris en partie dans le "Plaisirs de peindre Hors- Série N°21", d'Octobre 2013.
Si vous voulez bénéficier des conseils du magazine afin de préparer vos prochaines vacances, ou bien encore profiter d'un certain nombre de conseils en aquarelle, acrylique ou pastel, vous pouvez l'acheter dans toutes les grandes surfaces ou le commander sur le site de l'éditeur :
http://www.boutiquedesartistes.fr/plaisirs-de-peindre-hors-serie-n-21.html
Les stages qui m’ont apporté le plus, sont ceux que j’ai fait avec Jean-Louis Morelle et Christian Graniou, cette année. Tous deux sont d’excellents pédagogues et n’hésitent pas à partager tout leur savoir. Il n’y a qu’à voir combien de personnes peuvent se dire « élèves de JL Morelle »… David Chauvin et Joëlle Krupa- Astruc sont aussi de très bons transmetteurs de savoir.
Je ne citerai pas de noms, mais j’ai parfois été très déçue
par l’attitude de certains peintres pourtant très prisés… : attitude
mercantile (vente de matériel « indispensable », proposition d’heures
supplémentaires, paiement des sujets, ou tout simplement explications rapides
et succinctes… donc manque de pédagogie et d’envie de transmettre son savoir).
J’ai essayé de regrouper les questions qu’il faut se poser
avant (d’essayer) de s’inscrire à un stage.
Il n’est pas toujours utile d’aller très loin et de choisir un peintre renommé pour trouver des stages sympathiques.
Pour ma part, j’ai toujours choisi un peintre dont j’aimais le travail.
Il faut bien être conscient du fait que l’on ne peindra pas exactement comme le prof en sortant du stage (quoique certaines personnes restent très influencées par les stages qu’elles ont fait).
Ce n’est en tout cas pas mon
objectif (même si c’est ce que nous avons fait avec Christian Graniou ;
mais la copie est aussi très formatrice). Je préfère apprendre des techniques
nouvelles, ou maintenant parfaire mon bagage avec des petits
« trucs », que je mettrai en application ou non après le stage.
Il peut être intéressant de faire un stage (court) avec un
peintre dont on apprécie que moyennement la production ; il y a toujours
des choses nouvelles à apprendre et à réutiliser différemment.Il arrive aussi que l’on soit très déçu, parce que le professeur n’enseigne pas « sa façon de peindre » - pour laquelle on a choisi ce stage- mais tout simplement des rudiments d’aquarelle…
Le Contenu du
stage :
Certains professeurs proposent un contenu de stage : La lumière / la composition / travail sur les ombres/ peindre à la manière de … Comme le contenu est souvent très général, on peut considérer qu’il est « globalement » suivi …
Il faut parfois oser téléphoner au professeur ou aux
organisateurs du stage pour en savoir plus sur sa façon de travailler. Christian Graniou a, par exemple, un
programme de stage hyper précis et quasiment
minuté… que je n’ai retrouvé nulle part ailleurs. D’autres laissent plus
de part à l’improvisation et à l’adaptation aux stagiaires… ou aux conditions
naturelles. Certains professeurs proposent un contenu de stage : La lumière / la composition / travail sur les ombres/ peindre à la manière de … Comme le contenu est souvent très général, on peut considérer qu’il est « globalement » suivi …
Niveau du stage :
Il faut essayer de se renseigner sur le niveau du stage, pas toujours très bien ciblé : il ne sert à rien de faire un stage confirmé si on débute à l’aquarelle : on risque d’être perdu dès le départ, de lâcher prise et de revenir très déçu. Si l’on n’est pas prêt à entendre certaines explications techniques – parce qu’on ne maîtrise pas le vocabulaire, parce qu’on n’a jamais entendu parler de telle ou telle chose, parce qu’on ne maîtrise pas le matériel – il vaut mieux éviter de s’inscrire à ce stage (à voir avec le programme, ou en discutant avec le prof).
L’idéal est de trouver un stage qui propose des exercices
juste un peu plus difficiles que ce l’on maîtrise déjà. Il faut essayer de se renseigner sur le niveau du stage, pas toujours très bien ciblé : il ne sert à rien de faire un stage confirmé si on débute à l’aquarelle : on risque d’être perdu dès le départ, de lâcher prise et de revenir très déçu. Si l’on n’est pas prêt à entendre certaines explications techniques – parce qu’on ne maîtrise pas le vocabulaire, parce qu’on n’a jamais entendu parler de telle ou telle chose, parce qu’on ne maîtrise pas le matériel – il vaut mieux éviter de s’inscrire à ce stage (à voir avec le programme, ou en discutant avec le prof).
Le nombre de stagiaires : les organisateurs ont
malheureusement tendance à gonfler le nombre de participants aux stages :
sur la demande des profs ??? Pour faire plaisir aux amateurs ???
Toujours est-il, qu’au-delà d’une douzaine d’élèves, j’estime qu’il est impossible de s’occuper réellement de chacun dans un groupe. Surtout si, en plus, viennent se greffer des problèmes de langue ou de traduction.
Il n’est pas possible à 20 stagiaires de s’agglutiner autour de la table du prof, d’entendre ce qui se dit, de voir les subtilités de son travail et de prendre des notes en même temps… Autant se contenter alors d’une démonstration avec un grand écran !
A voir, donc, au moment de l’inscription… surtout si l’on est timide !
Toujours est-il, qu’au-delà d’une douzaine d’élèves, j’estime qu’il est impossible de s’occuper réellement de chacun dans un groupe. Surtout si, en plus, viennent se greffer des problèmes de langue ou de traduction.
Il n’est pas possible à 20 stagiaires de s’agglutiner autour de la table du prof, d’entendre ce qui se dit, de voir les subtilités de son travail et de prendre des notes en même temps… Autant se contenter alors d’une démonstration avec un grand écran !
A voir, donc, au moment de l’inscription… surtout si l’on est timide !
Les conditions pratiques du stage :
* Il faut savoir que lors d’un stage, on passe en général au
moins 6 heures par jour à peindre ou à observer le professeur. Certaines
personnes n’ont pas l’habitude de rester aussi longtemps assises, ou debout à
piétiner… et surtout il faut rester concentré durant tout ce temps, pour
passer de l’observation à la mise en pratique…
Un stage est épuisant… d’autant plus que dans
certains ateliers, on peut retourner peindre le soir.
Cela peut donc influer sur la durée du stage que l’on
choisit : stage court (de 2 ou 3 jours – un peu rapides à mon goût,
mais bien pour les débutants), ou bien stage long (de 5 jours, avec ou
sans coupure au milieu – ces stages sont souvent plus difficiles à gérer pour
le prof : crises existentielles des stagiaires, fatigue, déception,
découragement…). Si on passe le cap du 3è jour, ces stages sont en général très
riches et permettent de progresser au retour, grâce à l’assimilation des
techniques enseignées. Mais ils sont aussi plus chers !
* Renseignez- vous aussi sur les pratiques que vous
aurez : peinture en atelier, assis, debout, ou peinture en plein
air, sur petit siège, avec chevalet ???
Cela change bien sûr la liste de matériel et de vêtements à emporter… La peinture en atelier est bien sûr plus sécurisante et moins fatigante que celle en plein air. Mais quelle joie de rapporter une aquarelle d’un paysage que l’on a aimé ! Et il faut accepté d’être déstabilisé pour dépasser ses problèmes et progresser…
Cela change bien sûr la liste de matériel et de vêtements à emporter… La peinture en atelier est bien sûr plus sécurisante et moins fatigante que celle en plein air. Mais quelle joie de rapporter une aquarelle d’un paysage que l’on a aimé ! Et il faut accepté d’être déstabilisé pour dépasser ses problèmes et progresser…
* Les cours : Les
tarifs de stage paraissent toujours très élevés.
En général, le prix des cours en lui- même n’est pas si important (sauf pour quelques peintres qui profitent de leur notoriété). On oscille de 60 à 80€ par jour, 90-100€ pour les plus côtés.
Il faut bien sûr demander combien d’heures de cours cela recouvre : 6 h en général (3h le matin / 3h l’après- midi).
En général, le prix des cours en lui- même n’est pas si important (sauf pour quelques peintres qui profitent de leur notoriété). On oscille de 60 à 80€ par jour, 90-100€ pour les plus côtés.
Il faut bien sûr demander combien d’heures de cours cela recouvre : 6 h en général (3h le matin / 3h l’après- midi).
Certains organisateurs proposent l’hébergement sur le site du stage (Cf. l’Atelier Art Images, par exemple).
Pour les stages organisés lors de
manifestations, il faut souvent se débrouiller pour trouver un hôtel ou un
camping, puis aller au restaurant (au moins un repas) ou préparer ses repas.
Les tarifs de pension proposés par les ateliers peuvent paraître élevés, mais il faut faire ses comptes avant de choisir de se loger ailleurs (sauf camping-car ou logement chez des amis) ; si l’on additionne le prix de la chambre dans un hôtel, du petit- déjeuner, de 2 repas, de boissons éventuelles, et de l’essence dépensée pour se rendre sur le lieu du stage, on n’est pas forcément gagnant.
De plus, lorsqu’on loge sur le lieu du stage, parfois avec le professeur, on est complètement immergé dans le milieu de l’aquarelle. Les discussions tournent autour de cela, les échanges de points de vue sont nombreux et fructueux, et il est parfois même possible de retourner peindre le soir après le repas (si l’on n’est pas saturé !).
Le retour à la réalité du
quotidien n’en est d’ailleurs que plus difficile !Les tarifs de pension proposés par les ateliers peuvent paraître élevés, mais il faut faire ses comptes avant de choisir de se loger ailleurs (sauf camping-car ou logement chez des amis) ; si l’on additionne le prix de la chambre dans un hôtel, du petit- déjeuner, de 2 repas, de boissons éventuelles, et de l’essence dépensée pour se rendre sur le lieu du stage, on n’est pas forcément gagnant.
De plus, lorsqu’on loge sur le lieu du stage, parfois avec le professeur, on est complètement immergé dans le milieu de l’aquarelle. Les discussions tournent autour de cela, les échanges de points de vue sont nombreux et fructueux, et il est parfois même possible de retourner peindre le soir après le repas (si l’on n’est pas saturé !).
On peut passer par les syndicats d’initiatives pour trouver ces informations, ou encore se connecter aux sites Internet des villes dans lesquelles les stages se déroulent.
soit avec un ami qui fait le stage avec vous.
Il faut de toutes façons penser à réserver quelques mois à l’avance, surtout dans les petites
villes, et laisser bien sûr des arrhes.
* Pour les repas (qui sont indispensables, ainsi que la pause qui les
accompagne) : une journée de stage est souvent très intense : il faut
prendre le temps de « recharger ses batteries », sinon l’après-midi
risque de ne pas être profitable (les stagiaires ont souvent un gros coup de
fatigue en milieu de matinée et d’après- midi). Les pauses café et goûter sont
toujours les bienvenues !
Le restaurant permet de ne pas se
tracasser pour le repas (sauf problème financier). Le panier pique-nique est indispensable en cas de peinture à l’extérieur (problème de la glacière, du
transport en plus du matériel).
* Le transport :
Le prix du transport, qui peut ne pas être négligeable, est à rajouter aux frais de stage. Plus éventuellement le transport sur place, si on ne loge pas à côté du lieu du stage.
Pour faire face à toutes les situations, on part souvent avec beaucoup de matériel : une mallette avec les peintures, palette, pinceaux, pots, chiffons, sèche-cheveux, sopalin… et un grand sac de transport pour le papier (format raisin).
Il n’est pas facile de se déplacer en train avec tout ce bazar en plus de sa valise !
L’idéal, à mon avis, est de partir
en voiture à 2 ou 3 (amis ou non) et de partager les frais et Le prix du transport, qui peut ne pas être négligeable, est à rajouter aux frais de stage. Plus éventuellement le transport sur place, si on ne loge pas à côté du lieu du stage.
Pour faire face à toutes les situations, on part souvent avec beaucoup de matériel : une mallette avec les peintures, palette, pinceaux, pots, chiffons, sèche-cheveux, sopalin… et un grand sac de transport pour le papier (format raisin).
Il n’est pas facile de se déplacer en train avec tout ce bazar en plus de sa valise !
la fatigue de la conduite.
Les organisateurs acceptent volontiers de donner les listes des stagiaires, ainsi que leur
lieu de résidence.
Il est facile de prendre contact avec les personnes concernées.
Le matériel à apporter :
Les demandes des professeurs varient de tout à rien :
certains fournissent une liste complète de matériel à posséder (papier,
pinceaux, couleurs, matériel pour peindre à l’extérieur), ce qui peut
représenter une somme conséquente d’achats. La majorité des intervenants
demande aux stagiaires de venir avec leur matériel habituel et une ou deux
exigences. Un seul professeur jusqu’à maintenant a fourni tout le matériel
(sauf le papier) : Christian Graniou.
D’autres enfin, proposent de vendre « leur propre
matériel » dès le début du stage ! Indispensable si l’on veut peindre
comme eux !
Il vaut mieux emporter un peu plus que ce qui est demandé,
car on ne peut pas toujours aller acheter le matériel manquant sur place
(manque de temps / pas de magasin).
Le déroulé du stage :
Certains professeurs acceptent de donner des indications précises sur le contenu du stage et leur façon de procéder. Cependant, neuf fois sur dix, il est impossible d’apprendre quoique ce soit sur le déroulé du stage (sauf bouche à oreilles).
Certains professeurs acceptent de donner des indications précises sur le contenu du stage et leur façon de procéder. Cependant, neuf fois sur dix, il est impossible d’apprendre quoique ce soit sur le déroulé du stage (sauf bouche à oreilles).
Pour ma part, voici ce que je privilégie dans un stage (mais
on ne le découvre qu’à l’usage) :
- que
l’objectif de la séance soit clairement exprimé : il est
intéressant de savoir quelle est la difficulté ou la technique à travailler en fonction du sujet choisi
(cela m’intéresse d’autant plus que j’enseigne moi aussi).
- Que
le professeur fasse une ou plusieurs démonstrations : début
/milieu /aboutissement du travail.
Il est intéressant que le professeur ne se contente pas de peindre, mais qu’il assortisse ses actions de commentaires : choix de la couleur, du pinceau, du papier, pourquoi sécher, pourquoi mouiller le papier… et reprenne éventuellement des démonstrations de gestes techniques précis. - Que
le professeur donne des conseils sur le dessin, la composition
(surtout sur la perspective dans un paysage urbain). On peut se retrouver
très vite en difficulté dans un stage si l’on ne sait pas dessiner. La clé
de réussite d’une aquarelle tient souvent à son dessin.
- Que
l’on travaille si possible sur le même sujet, afin que tout le monde
puisse bénéficier des conseils du professeur.
- Que
le professeur passe au milieu du groupe de façon équilibrée, pour commenter
ou corriger les travaux (plutôt que de continuer sa propre aquarelle
en vue de la vendre à la fin de la démonstration…)
- Que
le professeur sache s’adapter : au niveau et aux demandes des
élèves, au temps, au matériel…
- Que
le professeur regroupe les élèves avec leurs travaux (soit après
chaque sujet, soit en fin de stage), afin de faire des commentaires sur
les réalisations de chacun. Cette phase est indispensable et permet en
général d’apprécier le travail des autres (que l’on n’a pas toujours le
temps de voir).
- Que
le professeur permette que l’on prenne des photos, en plus des notes
écrites indispensables
- Que
le professeur ne prenne pas systématiquement le pinceau des mains de
l’élève pour corriger son travail , mais lui explique plutôt comment
progresser (refaire une démonstration personnelle).
* Tout d’abord, quand s’y prendre ?
Il faut souvent réserver un an à l’avance. Les inscriptions aux stages 2014 se font pour la plupart lors des manifestations organisées en 2013.
Il faut souvent réserver un an à l’avance. Les inscriptions aux stages 2014 se font pour la plupart lors des manifestations organisées en 2013.
* Où trouver des adresses de stage ?
- Les
principales sources d’information sont les revues spécialisée en peinture
ou aquarelle : Plaisirs de peindre, L’Art de l’aquarelle, Pratique
des arts… Il faut alors réagir dès la parution des annonces !
- Les
sites des aquarellistes : la plupart des peintres ont maintenant
un site : consultez- les pour connaître leur actualité :
exposition, démonstrations, sorties, stages…
- Les
sites des manifestations d’aquarelle : suivez l’actualité des
différents salons d’aquarelle nationaux. La plupart proposent maintenant
des démonstrations et des stages courts. Mais il faut alors s’y inscrire
très vite, surtout pour les professeurs renommés.
Si les calendriers ne sont pas publiés sur le site, appelez les organisateurs : plus vous attendez, moins il y aura de places !
Voici quelques exemples de sites
(à compléter bien sûr !) :
Salon International de St Yrieix la Perche : http://www.salon-international-aquarelle.com/
Salon International de St Yrieix la Perche : http://www.salon-international-aquarelle.com/
Salon International de
Caussade : http://aquarellecaussade82.blogspot.fr/
Salon International de l’Aiguillon : http://www.salon-international-aquarelle-aiguillon.eu/ (47)
Salon International de l’Aiguillon : http://www.salon-international-aquarelle-aiguillon.eu/ (47)
Printemps de l’aquarelle de
Libramont : http://www.lacouleuretleau.be/
Voici deux sites qui répertorient les salons d’aquarelle
en France de l’année en cours :
Calendrier des stages d’aquarelle 2013 :
Calendrier
2012 des salons et expos d’aquarelles en France et en Belgique : passé,
mais utile pour avoir les lieux d’espositions
http://talent.paperblog.fr/5190141/calendrier-2012-des-salons-et-expos-d-aquarelles-en-france-et-en-belgique/#1TDPADWwafaXYQzQ.99
http://talent.paperblog.fr/5190141/calendrier-2012-des-salons-et-expos-d-aquarelles-en-france-et-en-belgique/#1TDPADWwafaXYQzQ.99
Atelier proposant des stages clés en mains (cours +
pension complète) : à compléter
Atelier Art Image « Le Chaudron », à
Durtal: http://www.atelier-artimage.com/
EN RÉSUMÉ :
Je pars à la recherche d’un stage bien avant les dates que
j’envisage (un an avant).
Je me sers des informations des années précédentes pour prendre contact avec les organisateurs.
1-
Je choisis un
peintre qui me plait (technique picturale , style…)
2-
Je décide de la distance maximale à parcourir pour
s’y rendre et du moyen de transport
pour m’y rendre
3-
Je vois si je peux partir avec d’autres personnes
(conseillé pour partager les frais de transport, de logement, et se mettre en
confiance dans le groupe)
4-
Je m’informe : des OBJECTIFS et du NIVEAU du
stage ; des CONDITIONS DE PRATIQUE (atelier / extérieur) ; du
nombre de STAGIAIRES (12 = nombre idéal)
5-
Si je le peux, je discute avec le professeur pour
connaître sa méthode de travail et voir si elle me convient (démonstrations,
explications, analyse des travaux…)
6-
Si cela m’est possible, je préfère un stage où cours
et hébergement sont sur le même lieu : immersion totale dans le monde de
l’aquarelle !
Si j’obtiens une place avec le professeur, aux dates que
j’ai choisies, je m’estime heureux et je suis prêt à m’adapter aux aléas du
stage…
|
2 commentaires:
Merci, j'ai lu votre article avec beaucoup d'intérêt ; toutefois en tant qu'adhérente d'association je
souhaiterais m'informer quant à la législation de l'organisation d'un stage. Ou puis-je trouver ces infos ?
Cordialement
Bonjour,
Je tiens quotidiennement le blog de Masmoulin.
J'ai répertorié les stages d'aquarelles en France et en Belgique pour 2014 en plusieurs articles. Au cours de mes recherches je suis tombé sur votre article.
Je le trouve très bien fait. Je le mets en ligne ce matin
http://masmoulin.blog.lemonde.fr/2014/01/14/comment-choisir-un-stage-daquarelle/
Comme je n'ai pas trouvé d'adresse e-mail, c'est par ce commentaire que je tenais à vous avertir
Cordialement
Pierre Debroucker alias Masmoulin
Enregistrer un commentaire